Le Manhattan est l’un des cocktails classiques, symbole d’élégance et de sophistication. Très prisé dans les bars à cocktails new-yorkais, il allie le caractère du whisky avec la douceur du vermouth rouge et une pointe d’amertume apportée par l’angostura. Voici comment réussir ce cocktail intemporel chez vous en suivant une recette simple et efficace.
Les ingrédients pour un Manhattan
- 4 cl de whisky
- 2 cl de vermouth rouge
- Un trait d’angostura
- 5 à 6 glaçons
Les étapes pour préparer un Manhattan
- Commencez par remplir un verre à mélange de glaçons pour le rafraîchir.
- Ajoutez le whisky et le vermouth rouge directement dans le verre à mélange.
- Versez un trait d’angostura, cette touche essentielle qui apportera profondeur et équilibre au cocktail.
- Mélangez délicatement avec une cuillère de bar pendant environ 20 secondes pour bien intégrer les saveurs.
- Filtrez le mélange dans un verre à cocktail refroidi, en retenant les glaçons.
- Pour la touche finale, ajoutez une cerise cocktail pour garnir, si vous le souhaitez. Elle ajoutera une note sucrée supplémentaire.
Astuce du barman pour votre Manhattan
Si vous souhaitez ajouter une pointe de sophistication, remplacez la cerise par un zeste d’orange. Tordez-le au-dessus du verre pour libérer les huiles essentielles, puis frottez-le légèrement sur le rebord du verre avant de le jeter ou de le déposer dans le cocktail. Cette subtile touche d’agrumes rehaussera les arômes et donnera une autre dimension à votre Manhattan Sweet.
Toute l’histoire du Manhattan
Le Manhattan est l’un des cocktails les plus emblématiques des États-Unis, et son origine remonte aux années 1870. On raconte qu’il aurait été créé au Manhattan Club de New York pour un banquet donné en l’honneur de Samuel J. Tilden, candidat à la présidence. Depuis, il est devenu une référence mondiale dans l’univers des cocktails. Ce cocktail est indissociable de l’élégance et du charme new-yorkais, évoquant les lounges feutrés et les soirées habillées. À chaque gorgée, c’est un peu de l’histoire de New York que l’on savoure.
